5 juin : une journée pour se sentir concerné par l'environnement
Ce 5 juin, c'est la Journée mondiale de l'environnement. Le thème de cette année est la restauration des écosystèmes.
En 1972, l’Organisation des Nations Unies crée une journée mondiale de l’environnement lors de la Conférence de Stockholm, une rencontre internationale sur le thème de l’environnement.
Le terme « environnement », au sens large regroupe tout ce qui nous entoure, notre planète, l’air, l’eau, … Cette journée met en exergue la survie de notre planète.
Le bien-être de la Terre
Le 5 juin est une journée très importante. Pour l’organisation internationale, qui regroupe actuellement 193 États membres, c’est une grande journée pour la sensibilisation et l’action en faveur de cette cause qui nous touche tous.
Une exposition internationale
En partenariat avec le Programme des Nations Unies pour l’environnement, l’hôte mondial de cette journée sera le Pakistan.
“Le gouvernement du Pakistan est pleinement engagé à jouer un rôle de premier plan dans la lutte contre le changement climatique, notamment par le biais de l’initiative -tsunami de 10 milliard d’arbres-, qui permettra de restaurer et d’améliorer plus d’un million d’hectares de forêts dans tout le pays” a précisé Malik Amin Aslam, assistant spécial du Premier Ministre pakistanais pour le changement climatique.
L’impact du confinement sur l’environnement
A cause du Covid-19, un confinement strict à été effectué. Cela a eu un impact significatif sur l’amélioration de la qualité de l’air. L’activité économique mondiale était au ralentie, cela a donc engendré une forte baisse des flux routiers et aériens, et donc un ralentissement des émissions de CO2. Une amélioration de la qualité de l’air de l’ordre de 20 à 30% a été constatée. D’après la revue scientifique Nature Climate Change, la pandémie aurait entraîné une baisse de 9% des émissions de CO2 dans le monde. Mais concernant les masques c’est une autre histoire. Suite à l’incivilité de beaucoup, le masque est souvent jeté n’importe où, trottoir, plage, … ils mettront près de 400 ans pour se décomposer entièrement.
Des associations qui s’engagent
Depuis des années, beaucoup d’associations on été créées afin d’aider dans ce domaine. Chacune à leur échelle, œuvre pour le bien être de la planète. La société Capillum par exemple s’investit pour le recyclage des cheveux, afin d’en faire des absorbants d’hydrocarbures. La fondation Project Rescue Ocean quand à elle, avec de nombreuses opérations de nettoyage des plages s’engage pour une terre plus propre.