AGDE POLITIQUE - LaREM, comment faire avaler la pilule aux Agathois ?
Alors que le gouvernement met actuellement tout en œuvre pour éviter un scandale sanitaire…
Alors que le gouvernement met actuellement tout en œuvre pour éviter un scandale sanitaire à quelques mois des élections municipales, le comité En Marche Agde groggy depuis les Européennes, cherche encore la meilleure communication possible pour déclarer leur candidat de Prestige aux Agathois.
Si ces derniers doivent savoir que la pilule que l’on essayera de leur faire avaler, sera souscrite sous ordonnance du Toubib ; ils ont surtout de quoi s’inquiéter tant la méthode du diagnostic stratégique est déjà en elle-même nauséabonde. En effet, proche de l’ulcère, le niveau de stress des soutiens au candidat et tellement avancé qu’ils en porteraient toutes les blouses inimaginable pour pouvoir faire la promotion de n’importe quel traitement pourvu qu’il puisse donner de l’espérance.
Un candidat déclaré sans étiquette
Même si l’on dit qu’en politique, la notion de transparence est une conception pas très claire ; il est tout de même regrettable que certains n’aient toujours pas pris en considération l’évident besoin d’un changement et qu’ils s’obstinent encore à utiliser les logiciels d’un autre siècle.
Racine (écrivain, Poète : 1639 – 1699) disait : Aimer un être, c’est le rendre transparent. Donc, c’est parce qu’il est tant aimé, que l’ancien adjoint de Gilles D’Ettore devrait être plus JUSTE avec ceux qui l’aiment ; il devrait plutôt choisir la transparence, car il est SÛR que certains Agathois(es) deviendront VERT quand ils auront compris qu’ils auront été manipulés.
Si le candidat se dit être sans étiquette, il n’empêche qu’il ne soit soutenu par la République En Marche. Pourquoi ne pas ne l’annonce pas t’il clairement ?
En Agde, cette mascarade n’est pas une surprise dans le milieu politique, mais pour la majorité des Agathois ; ce sera une fois de plus la parfaite démonstration que l’on cherche à les anesthésier.
Notre ville, déjà suffisamment fatiguée et épuisée, n’a pas besoin d’un bon médecin mais d’une médecine entreprenante et solidaire pour pouvoir la soigner.