HJE de la semaine : des initiatives pour protéger les victimes de violences intrafamiliales
L'Hérault Juridique & Economique détaille dans son numéro du 17 novembre 2022 des initiatives héraultaises de lutte contre les violences conjugales, et fait escale à Bessan, où se profile le projet Hélios…
Les violences conjugales, un problème de société
A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes et aux enfants, la rédaction du magazine papier Hérault Juridique & Economique fait le point avec plusieurs élus héraultais. Ils détaillent des initiatives locales destinées à mettre à libérer la parole des victimes de violences intrafamiliales, à les mettre à l’abri en cas d’urgence, ou à sensibiliser le public à cette question importante, souvent taboue.
Ainsi, le maire de Saint-Jean-de-Védas, François Rio, évoque la future création, en 2023, d’une association ayant pour missions d’accueillir, d’accompagner et d’orienter les victimes des violences commises par leur conjoint(e), au sein de nouveaux lieux d’hébergement d’urgence.
Pour sa part, le maire de Castelnau-le-Lez, Frédéric Lafforgue, explique la politique en faveur de l’égalité femmes-hommes qu’il mène, et détaille la création d’un dispositif qui sera mis en place dans sa commune avant la fin de son mandat pour accueillir et conseiller les femmes.
Enfin, Josian Ribes, maire de Montbazin, vice-président de l’Agglomération Hérault Méditerranée et responsable du Comité Egalité, décline les actions du comité Egalité – dont l’organisation de la Semaine de l’égalité – et ses principales missions.
Hélios, un grand projet de retail park à Bessan
Cette semaine, la rédaction fait également escale à Bessan, où se profile le projet de retail park Hélios. Installation d’entreprises et de commerces, surfaces, déménagement d’Intermarché… le projet est passé au crible. D’autres projets immobiliers du groupe Duval (promoteur immobilier) viennent enrichir ce numéro.
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Ce sont les auteurs des violences qu’il faut isoler et placer dans des centres. Il n’est n’est pas normal que les victimes soient obligées de partir de chez elles.