Législatives, 5e circonscription : Régine Marquet milite pour la liberté, la souveraineté et la fin de la corruption
Régine Marquet est une jeune retraitée du monde de l’assurance et de la formation. Elle se présente pour Les Patriotes avec sa suppléante, Elizabeth Morcillo, auxiliaire de vie sur le canton de Bédarieux.
La candidate est « issue du monde rural. Mes parents avaient une petite ferme, mon père était cantonnier. J’ai eu le bonheur et la chance que mes parents et grands-parents me transmettent des valeurs chères à mon cœur : honnêteté, respect dans tous les domaines, courage dans le travail, volonté d’entreprendre et d’aller au bout, ou du moins de se donner les moyens d’y parvenir. Aller au bout de mes idées, voilà la raison pour laquelle j’ai rejoint Les Patriotes et j’ai accepté d’être leur candidate sur la 5e circonscription où je réside. »
Le projet
Régine Marquet définit les Patriotes comme « un parti jeune et dynamique qui a fait le choix d’être présent aux législatives malgré sa jeunesse. Nous présentons 209 candidats en France. Avec l’accord électoral avec Génération Frexit et Debout la France, au total nous présentons 400 candidats. Je dis accord électoral, car nous avons refusé de constituer une alliance : nous ne sommes pas en concurrence et nous gardons notre autonomie. Je tiens à le préciser, car l’union de la gauche avec la Nupes, on a déjà vu par le passé comme cela se terminait ! ». La candidate précise que « les idées innovantes et inédites pour certaines sont dans notre titre de campagne : liberté, souveraineté, stop corruption. »
Régine Marquet enchaîne : « nous sommes les seuls à demander l’abrogation immédiate du pass sanitaire, ce sera notre première démarche. Nous voulons la suppression des décisions liberticides votées et validées par le Conseil Constitutionnel. Il faut également réintégrer les soignants et l’ensemble des professionnels suspendus à cause du vaccin, avec un rattrapage des salaires. Nous sommes contre le retour du vaccin anti-covid qui devrait faire son retour à la rentrée. Tous les nouveaux vaccins devraient être mieux vérifiés avant leur mise en marché, par des professionnels neutres. En réalité, c’est la politique vaccinale complète qui est à reprendre. Nous voulons également la levée du secret défense sanitaire de 50 ans : il faudra faire condamner ceux qui ont fermé les yeux et ceux à qui cela a profité. »
La candidate explique également « la lutte contre la corruption est une priorité, car toutes les instances sont plus ou moins gangrénées. Les appels aux cabinets-conseils étrangers sur tous les sujets sont un désaveu de la capacité de réflexion de nos hauts fonctionnaires et cela montre les conflits d’intérêts avec certains laboratoires pharmaceutiques. »
Régine Marquet milite pour la liberté : « la liberté de se déplacer, nous sommes seulement 2 pays au monde à s’être autorisé soi-même à sortir pendant les confinements ! La liberté de ne pas être sous surveillance permanente comme le prévoit l’identité numérique mise en place avec l’aide des Gafa qui nous surveillent déjà et se permettent de bloquer des comptes. » Elle complète : « nous n’avons plus de liberté d’expression. Nous sommes pour une liberté de penser en totale objectivité. Il faut stopper ce monopole des médias, dont on connaît la partialité : ils nous ont manipulés par la peur du Covid, la guerre en Ukraine, et d’autres maladies (qui ont la réputation d’être bénignes, avec pourtant des ‘simulations de pandémie’) ». La candidate précise que la liberté, « c’est aussi la liberté d’entreprendre non conditionnée à l’acceptation d’un certain nombre d’instances dépendantes de l’Europe. La France doit négocier les accords des marchés internationaux à sa convenance. L’Europe nous coûte une fortune : la balance France – Europe est déficitaire de 15 milliards d’euros ! Cet argent pourrait profiter à notre économie, nos entreprises qui sont en train de mourir, rapatrier les entreprises et industries qui sont parties. »
« Nous sommes pour le Frexit et le retour du Franc. Le travail détaché nous fait perdre des millions de cotisations sociales et les salaires sont tirés vers le bas avec la venue de main-d’œuvre étrangère », développe Régine Marquet.
La candidate précise que « nous sommes le premier parti avec un fort volet démocratique : la consultation populaire prévue, en faisant remonter les informations avec notamment le référendum d’initiative collective. Depuis des années les mots ‘liberté et égalité’ sont rayés des pontons de nos mairies. »
Autre point important pour Régine Marquet, la justice sociale : « nous défendons le pouvoir d’achat, la retraite à 60 ans. Nous voulons que la cause animale soit une cause nationale. Nous voulons repositionner les accords de Schengen pour pouvoir filtrer, nous n’interdisons pas l’immigration, nous la filtrons. Nous voulons reconsidérer tous les accords internationaux. Il nous faut également l’indépendance énergétique de la France et maîtriser le coût de l’énergie. Enfin, nous voulons préserver la paix en quittant l’OTAN qui est à la botte des États-Unis et que le général de Gaulle avait refusé. »
Le territoire
Régine Marquet explique que « le monde rural dépend de la politique agricole commune. Elle devrait devenir une politique agricole française : les agriculteurs subissent les décisions européennes. Il faut savoir que les aides que l’Europe leur verse proviennent des contributions françaises. Le Frexit mettra à plat cette politique agricole et évitera une concurrence déloyale comme avec la suppression actuelle des taxes sur les produits ukrainiens. Cette politique agricole française permettra d’exploiter à nouveau les ressources que l’Europe nous a fait mettre de côté. Plus de cotisations en France, cela veut dire plus d’emplois, plus de productions, plus d’exploitations agricoles. Le Frexit permettra au monde agricole d’avoir un revenu pour vivre et non pour survivre ! »
La candidate évoque également la problématique de la désertification médicale : « la 5e circonscription est la plus étendue et ne bénéficie pas de centre hospitalier. Jusqu’à une heure de route pour passer une radio ou consulter un spécialiste ! Les collectivités sont obligées de gérer et de financer ces services de proximité qui sont pourtant des services d’utilité publique ».