Rescue Ocean : naissance d’une nouvelle fondation sous l’égide de la Fondation CNRS
Lancée par le Projet Rescue Ocean, la Fondation Rescue Ocean vise à améliorer les actions d’associations citoyennes ou d’entreprises pour la restauration des océans. Cette organisation philanthropique sera abritée par la Fondation CNRS.
La Fondation Rescue Ocean est lancée pour récolter des fonds qui financeront les projets des associations de citoyens, des ONG ou des entreprises en faveur de la restauration des océans. Elle soutiendra les études scientifiques réalisées par les laboratoires du CNRS et de ses partenaires ainsi que les solutions d’innovations technologiques pour la dépollution. Cette structure s’engage également dans les actions de sensibilisation du public. Benoît Schumann, l’un des fondateurs de la Fondation Rescue Ocean, explique que cette démarche tend à « replacer l’humain au centre de la cause en soutenant toutes les initiatives permettant de faire des générations futures des ‘générations océans’ ».
Pour soutenir la science participative
La Fondation Rescue Ocean représente une avancée importante pour l’association Project Rescue. Cette dernière compte des milliers de bénévoles et 55 000 followers sur les réseaux sociaux, des individus qui deviendront des acteurs éco-citoyens sur les programmes de protection de l’océan. De son côté, la Fondation CNRS a l’ambition de « soutenir l’activité des laboratoires de recherche et de tisser des liens avec la société civile » pour promouvoir les sciences participatives. C’est pour cette raison que le Conseil d’administration de la Fondation CNRS a accepté d’abriter la Fondation Rescue Ocean. D’après Michel Mortier, le directeur général de la Fondation CNRS, les domaines d’interventions de Rescue Ocean correspondent à la vision de sa fondation sur les thématiques de la recherche sur le milieu océanique et le changement climatique. D’autant plus que, cette collaboration rapprochera les scientifiques et les citoyens.
Des coopérations déjà en place
La Fondation Rescue Ocean a déjà effectué des rapprochements auprès de différents laboratoires, à Brest, Montpellier, Banyuls, Nice… Aussi, dès cette année, un système d’échantillonnage sur le bateau d’Axel Thréhin (navigateur de course au large et ambassadeur de l’antenne bretonne de Project Rescue Ocean) a été mis en place. Il effectuera une récolte de données de l’impact des nanoparticules de plastique sur le milieu marin.
Bonjour,
Je vous remercie d’écrire toujours “Le Cap d’Agde”. J’ai signalé plusieurs fois au quotidien papier régional que la toponymie exacte de la station était “Le Cap d’Agde”, hélas je lis encore très souvent “Cap d’Agde”.
Que penser d’un quotidien de l’Ouest qui écrirait “Mans” ou “Havre” ?