Réclusion à perpétuité et période de sûreté de 20 ans requises contre la mère d'Amandine, morte affamée
Le parquet a requis, ce vendredi 24 janvier, la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 20 ans à l'encontre de Sandrine Pissarra, jugée devant les assises de l'Hérault pour actes de "torture" et de "barbarie" pour avoir affamé à mort Amandine, sa fille de 13 ans.
Le parquet a requis vendredi la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 20 ans à l’encontre de Sandrine Pissarra, cette mère de famille jugée devant les assises de l’Hérault pour actes de “torture” et de “barbarie” pour avoir affamé à mort Amandine, sa fille de 13 ans.
Dans son réquisitoire, le procureur général, Jean-Marie Beney, a également réclamé une peine de 18 années de réclusion à la rencontre de l’ancien compagnon de Mme Pissarra, Jean-Michel Cros, l’estimant coupable d’avoir “privé de ou soins d’alimentation” sa belle-fille, qui ne pesait plus que 28 kg lors de son décès, le 6 août 2020.
Le verdict est attendu en fin de journée, ce vendredi 24 janvier 2025.