Sandrine Pissarra condamnée à la réclusion à perpétuité avec une peine de sûreté de 20 ans
Le verdict est tombé ce vendredi 24 janvier après une semaine de procès aux Assises de Montpellier. Sandrine Pissarra, accusée d’actes de torture et de barbarie sur sa fille Amandine, ayant provoqué sa mort, est condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 20 ans. Le beau-père, Jean-Michel Cros, écope, quant à lui, de 20 ans de prison ferme.
Le verdict dans l’affaire Sandrine Pissarra vient d’être rendu aux Assises de l’Hérault, ce vendredi 24 janvier en fin de d’après-midi, après cinq jours d’un procès éprouvant relatant le martyre subi par Amandine, une jeune fille de 13 ans, retrouvée morte de faim et des suites des mauvais traitements infligées par sa mère le 6 août 2020 à Montblanc, près de Pézenas.
Après cinq jours de procès et deux heures et demi de délibéré, la cour d’assises de l’Hérault a condamné Sandrine Pissarra, sa mère, accusée d’actes de torture et de barbarie ayant provoqué la mort, à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 20 ans. Le beau-père, Jean-Michel Cros, écope, quant à lui, de 20 ans de prison ferme.