Vallée de l'Hérault : Sécurité renforcée au pont du Diable pour un été plus serein
Pascal Delieuze, maire de Saint-Jean-de-Fos et la Communauté de communes Vallée de l’Hérault ont mis en place de nouvelles mesures de sécurité au pont du Diable, depuis le 1er juillet.
Pour garantir la sécurité des nombreux visiteurs qui affluent au site du pont du Diable chaque été, la Communauté de communes Vallée de l’Hérault (CCVH) a renforcé son dispositif de sécurité. En collaboration avec les communes d’Aniane et de Saint-Jean-de-Fos, plusieurs mesures ont été mises en œuvre dès le début du mois de juillet.
Depuis le 1er juillet, un équipage de la gendarmerie nationale est en poste permanent sur le site. Cette présence est complétée par des agents de sécurité privés, dont le nombre a été augmenté cette année grâce à une hausse de 40% du budget sécurité alloué par la CCVH. Deux agents sont désormais présents quotidiennement pour surveiller le pont et la plage adjacente.
Aux heures de forte affluence, la mairie d’Aniane envoie un agent de police municipale, tandis que la mairie de Saint-Jean-de-Fos délègue un agent de surveillance de la voie publique (ASVP) pour renforcer la surveillance. En plus de ces mesures, deux médiateurs éco-gardes patrouillent le site durant les mois de juillet et d’août, pour sensibiliser les visiteurs à la préservation du lieu et lutter contre les incivilités.
Tous ces personnels – gendarmes, agents de sécurité, policiers municipaux, ASVP et éco-gardes – sont équipés de talkies-walkies fournis par la CCVH. Le dispositif de télésurveillance a également été amélioré, avec un doublement du nombre de caméras sur le parking.
Depuis 2020, Hérault Transport a déployé des médiateurs sur la ligne 668 (Montpellier – Clermont) qui dessert le pont du Diable. Cette année, ces médiateurs sont présents tous les jours depuis la mi-juin, pour renforcer la sécurité dès le départ des cars au terminus tram Mosson, où des contrôles de police sont également intensifiés.